Le Collège de médecine générale (CMG), instance composée de représentants syndicaux, de sociétés savantes et d’enseignants, souhaite une clarification du DPC. « Le dispositif suscite de nombreuses interrogations quant à ses futures modalités opérationnelles, indique le Collège. Les décrets devront formaliser un cadre simple, lisible, s’appuyant sur les expériences passées ».
L’instance propose aux institutions, aux structures professionnelles et organismes de formation sa définition du DPC en apportant des réponses courtes à 19 questions simples. « Le DPC, basé sur l’analyse réflexive des pratiques, est une synthèse aboutie de ce qui s’est fait jusqu’à présent en matière de formation, d’évaluation des pratiques professionnelles et d’amélioration de la qualité de l’exercice professionnel des médecins », explique le CMG. Le Collège ne manque pas de dire sa préférence pour le financement du dispositif. Il prône un financement pluriannuel, diversifié et pour une large part public pour protéger le DPC des conflits d’intérêt.
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