Sur le secteur optionnel,« il y a malheureusement un conflit entre des considérations de court terme et des intérêts de moyen terme », juge Frédéric van Rokeghem. « Je prends acte de la décision de l’UNOCAM [union nationale des complémentaires santé] de suspendre sa participation (aux négociations). Nous avons toujours dit que nous réservions notre signature à la condition que la prise en charge des compléments d’honoraires soit assurée. Il y a donc deux manières d’atteindre cet objectif, soit par l’engagement des complémentaires, soit par les textes règlementaires. » Faut-il que le secteur optionnel soit inclus dans les contrats responsables par la loi, ce qui forcerait les mutuelles à le solvabiliser ? « Ce sujet, s’il devait se poser, devra être débattu en conseil de l’UNCAM. À titre personnel, je ne serais pas choqué que les complémentaires financent les soins chirurgicaux quitte à ce qu’ils remboursent moins des éléments de confort », déclare le directeur.
Secteur optionnel dans l’impasse : l’agacement du directeur...
Publié le 21/09/2011
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9008
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