- La levée progressive des grandes incertitudes (déflation, dépression) permet d’envisager d’augmenter modérément le poids des actions dans les portefeuilles sous-investis et ce, dans une optique à moyen terme. Compte tenu du rebond très important des indices, il serait opportun de profiter des petits replis qui se produisent encore régulièrement.
- Pendant la reprise technique, les valeurs qui ont le plus rebondi vont continuer à surperformer mais elles subiront certainement de plus fortes baisses en cas de repli plus prononcé du marché. Aussi, dans une optique à moyen terme, mieux vaut acheter des valeurs plus défensives, à meilleure visibilité ou à bon dividende qui n’ont pas profité de la hausse depuis deux mois.
- L’évolution favorable de la confiance profite aussi aux produits de taux : il faut maintenir ses positions sur les emprunts des États européens « périphériques » et sur les emprunts du secteur privé.
- À court terme, au sein des secteurs européens : position neutre sur presque tous les secteurs, avec une petite préférence pour la construction, les produits de base et le secteur para-pétrolier.
- À moyen terme, investir sur les secteurs à meilleure visibilité (santé, télécoms, distribution, biens et services de consommation, énergie, services publics), sur quelques secteurs plus cycliques (construction, médias) et rester prudent sur les financières (banques, assurances), dont les résultats du premier trimestre sont encourageants mais ne doivent pas faire oublier les problèmes de fonds non résolus.
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