Avec 100 millions d’appareils vendus (mars 2011), l’iPhone est un succès planétaire. On peut dire qu’il siphone. Même si aux États-Unis, les ventes de smartphones sous Android dépassent désormais celles de l’iPhone. Quelle que soit l’issue du combat entre OS mobiles (voir pages 12 et 13), la médecine est déjà gagnante. La diffusion massive des smartphones a suscité le développement d’applications téléchargées ou connectées, majoritairement pour iPhone. Les professeurs de médecine s’y mettent eux aussi (voir pages 8 et 9). Les applications mobiles font partie de la trousse médicale du praticien 2.0, comme on a pu le voir au congrès Doctors 2.0 qui s’est tenu les 22 et 23 juin à Paris. C’est le début d’une nouvelle révolution connectée, après celle d’Internet. Tout cela était pressenti depuis longtemps mais sans dépasser le stade de l’expérimentation. Et voilà que la santé mobile (M-santé) entre en scène. Les appareils connectés aux smartphones se multiplient : tensiomètre*, balance, glucomètre, débitmètre de pointe, oxymètre de pouls… Tous déjà ou bientôt disponibles pour le public, faciles à utiliser et qui peuvent envoyer leurs mesures sur une plate-forme Web. À quand vos patients qui zappent sur les app santé ?
* Voir le test diaporama de deux autotensiomètres sur quotidiendumedecin.fr (taper diaporama dans la fenêtre de recherche)
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